C’est sous une pluie battante que nous ramenons les motos sur Buenos Aires, dans le parc de travail, pour terminer les derniers détails, et les préparer aux contrôles techniques.

Nous sommes installés dans la cité universitaire où le soleil est revenu, et où je retrouve toutes mes habitudes, avec les concurrents qui arrivent petit à petit et que je prends plaisir à retrouver. Juste en face de notre parking de travail se trouve le grand stade de River Plate.

Pour moi qui suis un ancien « fou de foot », ça évoque énormément de souvenirs et je replonge avec bonheur dans mes souvenirs de gamin passionné de ce sport que les Argentins considèrent comme une religion. Les trois motos prennent leur allure définitive, et le team SHERCO a vraiment fière allure. Nous sommes d’ailleurs sollicités par les journalistes qui sont curieux de voir les SHERCO aussi abouties, et qui les placent définitivement dans des plus belles motos.